
Créer un lien, pas un rabais.
Créer un événement. Nourrir un écosystème.
Chez les Pigeon, on se lance en affaires pour aider.
Oui, on veut vivre de notre entreprise — qui ne voudrait pas?
Mais ce n’est pas le profit qui nous motive d’abord.
C’est l’envie d’être utiles.
De faire une vraie différence, à notre manière.
Et cette différence-là, pour moi, passe par l’art.
Parce que l’art visuel, ce n’est pas juste un loisir.
C’est un langage. Une façon de se construire, de se relier, de faire société.
Autour de cette pratique, il existe un écosystème : artistes, associations, entreprises, lieux de diffusion.
Et quand chacun joue son rôle avec cœur — en avançant ensemble vers un objectif commun —
soutenir la création, lui redonner sa place,
alors on commence à bâtir autre chose. Quelque chose de plus grand que soi.
C’est ce qu’on essaie de faire, chaque jour, chez PygmaliART.
Quand la collaboration devient création
Quand Diane Saint-Pierre, de la Société Canadienne d’Aquarelle, m’a proposé de co-créer un événement pour — et avec — les aquarellistes,
j’ai su tout de suite que je ne pouvais pas dire non.
Elle ne me demandait pas une commandite.
Elle m’invitait à contribuer à quelque chose de vivant, de vrai.
Un projet pensé pour faire avancer les choses, concrètement, pour une communauté d’artistes passionnés.
Et moi, c’est exactement ce que je cherche à faire : Contribuer. Être présente. M’investir. Créer un lien.
Parce que pour moi, la création, c’est vital.
Chacun sa couleur, mais dans le même tableau
On pourrait croire que dans un projet à plusieurs têtes, les rôles se mélangent.
Mais non. Chacun savait exactement ce qu’il venait offrir.
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Diane Saint-Pierre a été le pont. Celle qui a su connecter L’Eau Vive, PygmaliART et la SCA dans un même élan.
Son rôle de tisserande, de passeuse, de gardienne du sens — aussi discret qu’essentiel — a rendu tout ça possible. -
L’Association L’Eau Vive a accueilli l’événement, mobilisé sa communauté, offert son ancrage, son énergie, sa générosité.
Et les bénévoles? Ils étaient là, simplement, pour faire briller le collectif. Une présence précieuse, humble, sincère. -
PygmaliART a apporté les matériaux, l’approche sensorielle, le souci de créer une expérience réelle, incarnée.
Pas juste des produits : des matières à ressentir, à tester, à faire vivre.
Et ensemble, sans chercher à diriger ni à disparaître, on a vu émerger une chorégraphie simple, mais juste.
Ce qu’on a offert aux artistes… et pourquoi ça compte
Avant de figer le programme, on a sondé les aquarellistes :
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Qu’est-ce qui vous manque?
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Qu’aimeriez-vous vraiment essayer?
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Qu’est-ce qui ferait une vraie différence pour vous?
Et ce sont leurs réponses qui ont guidé nos choix.
Parce qu’un écosystème, ça se construit aussi en écoutant ceux qu’il est censé nourrir.
Cet événement, ce n’était pas un salon promo.
C’était une expérience.
On voulait que les artistes vivent les matériaux.
Pas juste les voir. Pas juste en entendre parler.
Les toucher. Les comparer. Les ressentir.
🎨 Ils ont été guidés à travers un parcours structuré, avec une sélection choisie en collaboration avec eux :
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Les supergranulants de Schmincke, qui créent une danse de textures unique.
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Les couleurs singulières de Pop Pigments, artisanales, inattendues, pleines de personnalité.
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Les papiers 100 % coton Baohong et Hahnemühle Cézanne, deux ressentis, deux façons de vibrer.
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Les pinceaux de Rosemary & Co, sensibles, précis, faits pour durer.
Mais on ne s’est pas arrêtés là.
Ils ont aussi pu voir les matériaux en action, dans le geste fluide de Diane Saint-Pierre,
lors d’une démonstration gratuite, généreuse et vivante —
où l’eau, le papier et le pigment se sont racontés autrement.
Et pour ceux qui voulaient aller encore plus loin,
un atelier pas à pas, en petit groupe, leur a permis d’explorer les matériaux en contexte de création.
Pas dans la tête. Dans la main.
Et maintenant?
Ce n’était qu’un événement parmi d’autres possibles.
Mais il a porté en lui tout ce qu’on veut continuer de bâtir :
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Des partenariats vrais.
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Une écoute sincère des besoins des artistes.
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Une expérience humaine, sensorielle, incarnée.
Chez PygmaliART, on veut continuer à co-créer avec ceux et celles qui croient que l’art mérite plus qu’un rayon en magasin.
On veut contribuer à un écosystème vivant. Généreux. Humain.
Alors si tu fais partie d’une association, d’un regroupement, d’un collectif artistique —
et que cette façon de travailler te parle…
Écris-moi. Proposons. Rêvons. Créons.
Ensemble, on peut tisser autre chose.
Quelque chose de beau, de juste, de vivant.
Parce que c’est comme ça qu’on fait avancer les choses.
Et que la création — commence toujours par un lien.
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